Suite aux décisions gouvernementales et aux mises en garde émanant de différents corps médicaux, les bureaux de la SMA Neutra ne seront plus accessibles au public dès ce lundi 16 mars et ce jusqu’à nouvel ordre.

Vous pouvez envoyer vos documents par voie postale ou les déposer dans notre boîte aux lettres. Nous restons à votre disposition par email (info@neutrahospi.be) et par téléphone (04/254.54.90).

Nos équipes tiennent à remercier et à apporter tout leur soutien au personnel médical pour leur dévouement face à cette crise sanitaire.

Plusieurs de nos assurés nous ont signalé avoir reçu des appels de personnes se présentant comme travaillant à la SMA Neutra et prétextant un remboursement pour obtenir leurs informations bancaires.

Il s’agit d’une tentative d’arnaque, ces personnes ne travaillent pas pour la SMA Neutra.

Nous vous recommandons la plus grande prudence et vigilance. Ne communiquez aucune information, d’autant plus par téléphone, si vous avez le moindre doute, que cela concerne notre société ou une autre. Prévenez la police si vous êtes victime de tels faits et informez vos proches.

En vue de rationaliser le paysage hospitalier belge, et suite aux réformes instaurées par la Ministre de la Santé, Maggie De block, chaque hôpital général et universitaire belge devrait faire partie d’un réseau clinique. L’assise juridique de cette mise en réseau devait être lancée pour le 1er janvier 2020.

L’objectif majeur est d’encourager les collaborations entre hôpitaux et permettre la réalisation d’économies.

25 réseaux hospitaliers couvrant une zone géographique continue seront créés dont 8 en Wallonie, 4 à Bruxelles et 13 en Flandres.

Les 8 réseaux de la Région wallonne :

  • 2 à Liège :
    • CHU + CHR ;
    • MontLégia CHC ;
  • 2 à Charleroi :
    • GHDC ;
    • ISPPC ;
  • 1 à Mons : Tivoli + Jolimont + Ambroise Paré ;
  • 1 dans le Borinage-Hainaut occidental : Epicura + CHR Haute Senne + CHwapi ;
  • 1 dans la province du Luxembourg : Vivalia ;
  • 1 à Namur : tous les hôpitaux namurois.

Chaque réseau devra rencontrer l’ensemble des missions de soins spécialisés. Quant aux soins les plus pointus (chirurgie oncologique complexe et chirurgie cardiaque par exemple), ils ne seront pas disponibles dans chaque réseau hospitalier mais des règles de renvoi vers les points de référence (les hôpitaux proposant des fonctions, des services hospitaliers suprarégionaux) seront établies.

Nous vous recommandons de prêter attention à vos prochaines factures d’hospitalisation. En outre, pour tout déplacement intra-réseau effectué en ambulance, des frais supplémentaires vous seront également imputés.

 

Un réseau hospitalier clinique locorégional est défini comme une collaboration, agréée, concernant les soins de santé, entre au moins deux hôpitaux non psychiatriques* qui se trouvent dans une zone géographiquement continue et qui proposent des missions de soins locorégionales de manière rationnelle et complémentaire.

* à l’exception des hôpitaux disposant uniquement de services psychiatriques hospitaliers associés à des services spécialisés de traitement et de réadaptation ou à un service de gériatrie.

Le PREDNISOLONE est un glucocorticoïde [corticoïde] principalement utilisé pour son action anti-inflammatoire dans le traitement d’otite, de rhinite ou d’asthme, mais n’est pas sans danger.

Une récente étude britannique démontre en effet le lien entre la prise de ce médicament et l’altération de la régulation de la glycémie ainsi que du métabolisme du glucose.

En cas de traitement continu, même à faible dose, il existe un risque accru de diabète mais également de prise de poids et d’ostéoporose (maladie des articulations).

Si vous prenez ce médicament, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien.

Les statuts de la SMA Neutra EXCLUENT de toute intervention, les maladies ou accidents survenus à l’assuré en état d’ivresse, d’intoxication alcoolique (SAUF en cas d’absence de lien causal entre la maladie/l’accident et ces conséquences OU si l’assuré fourni la preuve qu’il a utilisé par ignorance des boissons ou qu’il s’y est vu obligé par un tiers) ou causés par l’alcoolisme.

Consommation d’alcool

  • Consommation excessive : boire plus qu’il n’est raisonnable ;
  • Consommation problématique : survenance de problèmes physiques, psychiques et/ou sociaux ;
  • « Binge drinking » : nouvelle pratique, très courante chez les jeunes, consistant à boire une quantité massive d’alcool en très peu de temps. Très nocif pour la santé en général et pour le développement des jeunes en particulier :
    • black-out ;
    • dommages aigus à divers organes ;
    • augmentation rapide de la tension artérielle ;
    • impact sur le développement du cerveau et les capacités d’apprentissage ;
  • Dépendance physique et/ou psychique :
    • ne plus pouvoir fonctionner sans alcool ;
    • tolérance à l’alcool de plus en plus élevée ;
    • symptômes de sevrage ;
    • perte de contrôle ;
    • black-out, troubles de la mémoire fréquents ;
    • obsession pour l’alcool ;
    • négligence accrue.

Conséquences

La consommation d’un seul verre d’alcool a des conséquences, directes, sur notre corps.

  • Court terme : même après avoir consommé un seul verre, l’alcool est présent dans le sang. Après une dizaine de minutes, il atteint le cerveau. L’effet varie en fonction de plusieurs éléments (nombre de verres consommés, vitesse d’absorption, sexe, âge, taille, poids, consommation habituelle ou non, condition physique,…)
    • effet anesthésique et analgésique ;
    • ralentit le processus de guérison ;
    • maux d’estomac ;
    • maux de tête ;
    • gueule de bois (vomissement, nausée, mal de tête, …) ;
    • comportement violent ;
    • gastrite (inflammation de la muqueuse de l’estomac) en cas de consommation excessive. En revanche, il semble que l’alcool ne soit pas directement impliqué dans la survenance d’ulcère à l’estomac ;
    • black-out (consommation d’alcool en trop grande quantité provoquant des troubles de fonctionnement du cerveau. Nocif pour le cerveau et le fonctionnement de la mémoire) ;
    • intoxication alcoolique : confusion, perte de conscience, coma, respiration difficile, arrêt du cœur ;
    • coma éthylique : sommeil profond, peu ou pas de réponse aux stimuli, baisse de la température corporelle, risque d’étouffement, respiration difficile, mort ;
  • Long terme :
    • augmentation du risque de certains cancers : bouche, gorge, œsophage, foie, côlon, rectum, sein ;
    • de maladies cardiovasculaires: hypertension, pression artérielle élevée, hémorragie cérébrale, troubles du rythme cardiaque ;
    • inflammation de l’œsophage ;
    • pancréatique (chronique) : inflammation du pancréas (dommages irréversibles, risque de cancer du pancréas) ;
    • cirrhose (maladie chronique et irréversible, détruisant progressivement les cellules. Risque que le foie ne fonctionne plus correctement et/ou cancer du foie) ;
    • risque pour le cerveau : troubles cognitifs, altération de la mémoire, des capacités de planification, d’attention et de prise de décision, syndrome de Korsakoff (détérioration de la mémoire, fabulation, désorientation, perte du langage,…) ;
    • risque pour la santé mentale : troubles psychiques, anxiété, dépression, insomnies,…
  • Répercussions sociales :
    • tensions et disputes avec l’entourage ;
    • isolement ;
    • problème au travail ;
    • problèmes judiciaires ;
    • problèmes financiers.

L’alcool au volant

Vous êtes en infraction lorsque votre concentration d’alcool est de 0,22 mg/litre d’air expiré et de 0,5 gr/litre de sang. Ce qui correspond +/- à 2 verres standards de 25 cl. Passé ce seuil, vous êtes en intoxication alcoolique.

Evènements impactant cet état : le sexe (de par le métabolisme du corps humain, les hommes supportent mieux l’alcool que les femmes) ; l’âge ; le poids ; la prise ou non de médicaments.

Intoxication alcoolique, alcoolémie = quantité d’alcool, taux d’alcool présent/détecté dans le sang. Notion objective légalement fixée en gr/L de sang (se détermine avec précision par une prise de sang). Influencée par le poids, le sexe, l’alimentation, une éventuelle maladie,…

Ivresse = incapacité à, bien, contrôler ses actes et mouvements (notion subjective). Influencée par l’habitude ou non de consommation d’alcool. On parle aussi de tolérance à l’alcool : la quantité d’alcool dans le sang reste la même mais impacte la survenance des (et les) effets de l’alcool.

Risques d’une consommation au volant : accidents (l’attention et les réactions sont moindres) et sanctions :

  • interdiction, momentanée, de conduire ;
  • amende ;
  • convocation devant un tribunal :
    • casier judiciaire ;
    • retrait temporaire/définitif du permis de conduire.

Quelques chiffres (alarmants)

  • les « binge drinkers » sont exposés à un risque d’infarctus 5 à 6 fois plus élevés ;
  • le foie dégrade un verre d’alcool standard en +/- 1h30 ;
  • l’alcool au volant constitue la 2ème cause de mortalité sur la route ;
  • plus de 4000 accidents causés chaque année sont dus à une consommation d’alcool ;
  • alcool en cause dans plus d’un accident de la route sur 10 ;
  • en cas de consommation, le risque de causer un accident mortel est multiplié par 8 à 40 fois selon la quantité ingérée !

Loin de nous vouloir moralisateurs, nous tenons surtout à vous informer des différents risques et conséquences d’une consommation, excessive et/ou problématique d’alcool. Outre les conséquences sociales, l’impact sur votre santé et les éventuelles sanctions pénales, nous n’interviendrons pour aucun accident ni aucune maladie résultant d’une consommation d’alcool aussi minime soit-elle.

Vous pouvez obtenir de l’aide sur les sites www.aide-alcool.be ; www.infordrogues.be.

Les vacances approchent à grands pas ! Que vous ayez décidé de partir à l’étranger ou de rester en Belgique, l’important est que vous passiez un été sans souci.

Pensez, à l’avance, aux vaccinations éventuelles (surtout si vous partez loin) ainsi qu’à votre trousse à pharmacie. Vous trouverez plus d’informations à ce sujet via les liens suivants : www.itg.be/F/conseils-de-voyages (Institut de Médecine Tropicale d’Anvers) ; https://www.pharmacie.be/actualites/des-vacances-en-bonne-sante (médicaments à emporter).

En cas de séjour au sein de l’Union Européenne*, n’oubliez pas de vous munir de votre Carte Européenne d’Assurance Maladie (durée de validité limitée à 1 an). Cette carte prouve que vous êtes assurés en Belgique et vous procure un remboursement de vos soins nécessaires lorsque vous êtes en vacances à l’étranger. Pour plus d’informations à ce sujet et pour recevoir cette carte, contactez votre Mutualité.

* Ainsi qu’en Norvège, au Liechtenstein, en Islande et en Suisse.

Votre assurance Dentalis est valable en Belgique, en Allemagne, en France, au Grand-Duché du Luxembourg et aux Pays-Bas. Votre assurance hospitalisation Neutra Base ou Neutra Optimum vous couvre en Belgique et les produits d’assurance Neutra +, Neutra Confort et Neutra Top sont valables dans le monde entier !

Depuis le 1er janvier 2019, un nouveau système de facturation des services d’ambulance, instauré par la ministre De Block, est en place.

Le coût d’une intervention en ambulance 112 (et non privée) est dorénavant de 60,00 €, peu importe le lieu où les patients sont pris en charge ou le service d’urgence vers lequel ils sont transportés.

Grâce au nouveau système uniformisé, les patients sauront désormais à quoi s’attendre et ne devront plus introduire d’attestation auprès de leur  mutualité.

Les produits d’assurance Neutra +, Neutra Confort et Neutra Top prennent en charge les frais des transports en ambulance 112 ainsi qu’en ambulance privée à concurrence de 100%, en cas d’hospitalisation.

L’un des aspects de la réforme du paysage hospitalier et du financement des hôpitaux de la Ministre des Affaires sociales et de la Santé publique Maggie De Block est l’instauration de projets pilotes dont celui de l’hospitalisation à domicile (« HAD »).

Il est vrai qu’une hospitalisation, en plus d’être coûteuse, peut se révéler être une expérience des plus désagréable. C’est ainsi que Maggie De Block prône la tranquillité et le confort de son chez soi. Elle souligne également l’importance du soutien moral fourni par les proches, qui ne seront pas limités par des heures de visite imposées. Autre avantage non négligeable, les infections qui surviennent lors d’une hospitalisation en milieu hospitalier sont nombreuses. Ce qui pourrait être cantonné lors d’une « HAD ».

La ministre assure que les soins sont garantis et de qualité. Infirmières et médecins traitants sont les acteurs clés et communiquent avec les dispensateurs de soins hospitaliers et extramuraux via un dossier de patient électronique intégré.

La phase test permettra de vérifier cela et nous donnera les conclusions de ce qui pourrait être la nouvelle hospitalisation.

Ce qui va changer au niveau de vos remboursements, si cette phase test se révèle concluante ? Nous vous rembourserons de la même façon qu’avant, n’oubliez cependant pas de bien nous remettre les documents reçus par l’hôpital et le personnel soignant.

Article 3 de la Convention signée avec la Ministre : « Durant l’exécution du projet pilote, les différents prestataires continuent à facturer leurs prestations de façon habituelle. Afin de permettre la délivrance des médicaments par le pharmacien hospitalier et, le cas échéant, permettre que les frais à charge du patient en hospitalisation de jour soient couverts par les assurances hospitalisation, l’hospitalisation à domicile a été assimilée à l’hospitalisation de jour dans la convention nationale entre les hôpitaux et les organismes assureurs ».

La réglementation européenne en matière d’assurance étant stricte, les documents à nous remettre pour toute demande d’intervention (repris sous la rubrique « Documents Officiels ») ont été revus et mis à jour.

Vous y trouverez, notamment, la déclaration pour intervention de frais. Nous attirons votre attention sur le fait que la case relative au traitement de vos données personnelles doit être cochée. Faute de quoi, nous ne pouvons traiter votre dossier.

Veuillez TOUJOURS vous servir des documents repris sous cette rubrique. Les anciennes versions ne sont effectivement plus à jour et, dès le mois de février, nous nous verrons dans l’obligation  de vous les retourner

N’oubliez pas de toujours dater et signer les documents que vous nous envoyez.