ATTENTION

De fausses invitations s’apparentant à du phishing voire contenant des virus circulent actuellement pour la vaccination contre le COVID-19. Faites donc bien attention si vous recevez une telle invitation par email.

Attentia et le site https://www.info-coronavirus.be/fr/ fournissent quelques informations relatives à ces invitations :

  • Vous recevez toujours une invitation personnelle par la poste. Un email et un sms sont également parfois envoyés, mais toujours en accompagnement du courrier postal ;
  • Votre nom doit toujours être personnellement mentionné sur l’invitation ;
  • L’invitation émane des autorités flamande, wallonne ou bruxelloise, pas d’une commune ni d’un fabricant de vaccins (Pfizer ; Zeneca ; …) ;
  • Les invitations officielles sont toujours envoyées, pour les courriers électroniques, à partir de l’adresse cov19-vaccin@doclr.be ; et le numéro 8811 pour les sms.

Ne cliquez pas sur des invitations suspectes et ne renseignez surtout aucune information personnelle. En cas de doute, n’hésitez pas à signaler cet email à l’adresse suspect@safeonweb.be.

Au vu de la politique de vaccination actuellement en cours, voici quelques informations sur les principes mêmes du vaccin.

Lorsque notre corps est infecté par un microbe (virus, bactérie, …), notre système immunitaire reconnaît certaines parties du microbe appelées antigènes et réagit de façon à neutraliser et éliminer ce microbe, ce qui nous permet de guérir. Suite à cette infection, notre corps « développe » une certaine mémoire du microbe, pouvant nous protéger ultérieurement.

L’objectif du vaccin est le même : permettre à notre système immunitaire de reconnaître le virus et le combattre efficacement sans contracter la maladie.

Lorsque le vaccin est injecté dans notre corps, les antigènes (du microbe contre lequel le vaccin agit) qu’il contient, reconnus comme des composants étrangers au corps, vont favoriser une réponse immunitaire de notre corps avec la production d’anticorps spécifiques.

Dès lors, en cas de rencontre réelle avec ce microbe, nos défenses immunitaires activées précédemment par les antigènes contenus dans le vaccin, seront plus performantes et pourront neutraliser l’agent infectieux évitant que la maladie ne se développe. C’est ce qu’on appelle la mémoire immunitaire.

  • La vaccination c’est l’introduction d’un microbe rendu inoffensif dans notre système immunitaire, lequel réagit en produisant des anticorps pour le combattre.

Les premiers vaccins contre le virus COVID-19 proviennent des firmes Pfizer et Moderna. Leurs composants sont identiques. Deux doses sont à prendre, avec un intervalle de 21 jours pour le vaccin Pfizer et 28 jours pour le vaccin Moderna après la première prise.

Bien que cette vaccination ne mette pas immédiatement fin à la pandémie actuelle, cela permettra une protection quasi-totale contre la maladie. L’ensemble de la population ne sera pas non plus vacciné en même temps : le Conseil Supérieur de la Santé a défini des publics prioritaires, en débutant par les maisons de repos (résidants et membres du personnel).

La vaccination, gratuite, n’est bien sûre pas obligatoire mais, pour être efficace et assurer une immunité collective (mondiale), doit atteindre un seuil de 70%.

La vaccination s’ajoute aux mesures de prévention (distanciation sociale, règles sanitaires) qui persisteront dans un premier temps. La vaccination permettra d’assouplir les règles de distanciation et de renouer avec certaines libertés.

Vous trouverez plus d’information sur les sites www.jemevaccine.be et https://www.vaccination-info.be/

Le nombre de cas de rougeole a atteint un pic en 2019 (le dernier « record » datant de 25 ans).

La rougeole est une maladie infectieuse hautement contagieuse et potentiellement grave qui entraîne des complications dans près de 20 à 30 % des cas (laryngite, otite, bronchite, pneumonie, encéphalite, séquelles irréversibles, mort). La transmission se fait essentiellement par voie aérienne.

Quelques chiffres inquiétants :

Malgré l’existence d’un vaccin très efficace, l’Union européenne a connu une augmentation du nombre de cas au cours des dernières années :

  • augmentation sans cesse depuis 2017 ;
  • plus de 12 000 cas signalés en Europe en 2018 ;
  • plus de 850 000 cas de rougeole en 2019 ;
  • augmentation de 50% des décès en 2019 par rapport à 2016 (plus de 200 000 décès).

En Belgique :

  • 298 cas répertoriés en Wallonie fin 2016 – début 2017 avec 43% d’hospitalisations ;
  • 117 cas en Belgique en 2018 (12 à Bruxelles ; 40 en Flandres ; 65 en Wallonie) ;
  • 481 cas confirmés en 2019 en Belgique.

Les principales causes de cette recrudescence étant l’échec de vaccinations des enfants ainsi que la prise d’une seule dose sur les deux requises.

Le vaccin contre la rougeole est le vaccin trivalent RRO (Rougeole, Rubéole, Oreillon). Il est nécessaire de couvrir plus de 95 % de la population avec les 2 doses du vaccin RRO pour pouvoir assurer une immunité de groupe et atteindre les objectifs de l’Organisation Mondiale de la Santé d’élimination de la rougeole pour 2020.

En 2016, la couverture vaccinale pour la première dose du vaccin RRO en Belgique était de 95,7 %, et, pour la deuxième dose, de 87,4 % en Flandre contre 75 % en Wallonie et dans la région de Bruxelles-Capitale.

Le nombre de cas semble en baisse en 2020 mais la situation sanitaire liée au Covid-19 ne permet pas de recenser l’ensemble des cas et les restrictions y liées ont perturbé la vaccination.

Les symptômes, combinés, de la rougeole sont les suivants :

  • fièvre ;
  • éruption maculo-papuleuse (éruption de boutons) ;
  • au moins un des trois symptômes suivants : toux, coryza, conjonctivite.

Coryza = rhinite aiguë

Éruption maculo-papuleuse = manifestation de tâches rosées principalement localisée au niveau du tronc et du visage (disparition des tâches dans les 3 jours de leur apparition, sans desquamation ni pigmentation).

https://www.vaccination-info.be/maladie/rougeole/

N’oubliez pas la vaccination : cela vous protège, protège les autres et évite la réapparition de dangereuses maladies (quelques cas isolés d’une maladie contagieuse peuvent déclencher une épidémie).

N’hésitez pas à vous rendre sur le site vaccination-info.be pour obtenir d’amples informations.

Lorsque la franchise relative à une hospitalisation a déjà été retenue pour l’année 2020 et, en cas d’hospitalisation initialement programmée en 2020 et reportée en 2021 en raison du Covid-19, la franchise ne sera pas à nouveau réclamée.

Cela ne vaut que pour les reports dus à la situation sanitaire actuelle ; et les hospitalisations initialement programmées en 2020.

Pour les hospitalisations prévues en 2021, la franchise sera due.

Neutra Assurances reste à votre écoute durant cette période sanitaire particulière. Nos conseillers sont à votre disposition par téléphone ou par email https://www.neutrahospi.be/contact/.

Nous vous informons cependant que nos bureaux seront fermés le lundi 2 novembre 2020. Nous ne serons pas joignables par téléphone ni par email. Nous traiterons ces derniers dès mardi matin.

Prenez soin de vous et de vos proches.

Plusieurs de nos assurés nous ont signalé avoir reçu des appels de personnes se présentant comme travaillant à la SMA Neutra et prétextant un remboursement pour obtenir leurs informations bancaires.

Il s’agit d’une tentative d’arnaque, ces personnes ne travaillent pas pour la SMA Neutra.

Nous vous recommandons la plus grande prudence et vigilance. Ne communiquez aucune information, d’autant plus par téléphone, si vous avez le moindre doute, que cela concerne notre société ou une autre. Prévenez la police si vous êtes victime de tels faits et informez vos proches.

En vue de rationaliser le paysage hospitalier belge, et suite aux réformes instaurées par la Ministre de la Santé, Maggie De block, chaque hôpital général et universitaire belge devrait faire partie d’un réseau clinique. L’assise juridique de cette mise en réseau devait être lancée pour le 1er janvier 2020.

L’objectif majeur est d’encourager les collaborations entre hôpitaux et permettre la réalisation d’économies.

25 réseaux hospitaliers couvrant une zone géographique continue seront créés dont 8 en Wallonie, 4 à Bruxelles et 13 en Flandres.

Les 8 réseaux de la Région wallonne :

  • 2 à Liège :
    • CHU + CHR ;
    • MontLégia CHC ;
  • 2 à Charleroi :
    • GHDC ;
    • ISPPC ;
  • 1 à Mons : Tivoli + Jolimont + Ambroise Paré ;
  • 1 dans le Borinage-Hainaut occidental : Epicura + CHR Haute Senne + CHwapi ;
  • 1 dans la province du Luxembourg : Vivalia ;
  • 1 à Namur : tous les hôpitaux namurois.

Chaque réseau devra rencontrer l’ensemble des missions de soins spécialisés. Quant aux soins les plus pointus (chirurgie oncologique complexe et chirurgie cardiaque par exemple), ils ne seront pas disponibles dans chaque réseau hospitalier mais des règles de renvoi vers les points de référence (les hôpitaux proposant des fonctions, des services hospitaliers suprarégionaux) seront établies.

Nous vous recommandons de prêter attention à vos prochaines factures d’hospitalisation. En outre, pour tout déplacement intra-réseau effectué en ambulance, des frais supplémentaires vous seront également imputés.

 

Un réseau hospitalier clinique locorégional est défini comme une collaboration, agréée, concernant les soins de santé, entre au moins deux hôpitaux non psychiatriques* qui se trouvent dans une zone géographiquement continue et qui proposent des missions de soins locorégionales de manière rationnelle et complémentaire.

* à l’exception des hôpitaux disposant uniquement de services psychiatriques hospitaliers associés à des services spécialisés de traitement et de réadaptation ou à un service de gériatrie.

Chers souscripteurs, chers assurés,

Les bureaux de la SMA Neutra seront fermés :

  • le mardi 24/12 à partir de 12h00 ;
  • le mercredi 25/12 ;
  • le lundi 30/12 ;
  • le mardi 31/12 ;
  • le mercredi 01/01.

Nous ne serons pas joignables par téléphone ni par e-mail durant ces jours de fermeture.

Tous les collaborateurs de la SMA Neutra vous souhaitent de joyeuses fêtes de fin d’année.

Le PREDNISOLONE est un glucocorticoïde [corticoïde] principalement utilisé pour son action anti-inflammatoire dans le traitement d’otite, de rhinite ou d’asthme, mais n’est pas sans danger.

Une récente étude britannique démontre en effet le lien entre la prise de ce médicament et l’altération de la régulation de la glycémie ainsi que du métabolisme du glucose.

En cas de traitement continu, même à faible dose, il existe un risque accru de diabète mais également de prise de poids et d’ostéoporose (maladie des articulations).

Si vous prenez ce médicament, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien.

Les statuts de la SMA Neutra EXCLUENT de toute intervention, les maladies ou accidents survenus à l’assuré en état d’ivresse, d’intoxication alcoolique (SAUF en cas d’absence de lien causal entre la maladie/l’accident et ces conséquences OU si l’assuré fourni la preuve qu’il a utilisé par ignorance des boissons ou qu’il s’y est vu obligé par un tiers) ou causés par l’alcoolisme.

Consommation d’alcool

  • Consommation excessive : boire plus qu’il n’est raisonnable ;
  • Consommation problématique : survenance de problèmes physiques, psychiques et/ou sociaux ;
  • « Binge drinking » : nouvelle pratique, très courante chez les jeunes, consistant à boire une quantité massive d’alcool en très peu de temps. Très nocif pour la santé en général et pour le développement des jeunes en particulier :
    • black-out ;
    • dommages aigus à divers organes ;
    • augmentation rapide de la tension artérielle ;
    • impact sur le développement du cerveau et les capacités d’apprentissage ;
  • Dépendance physique et/ou psychique :
    • ne plus pouvoir fonctionner sans alcool ;
    • tolérance à l’alcool de plus en plus élevée ;
    • symptômes de sevrage ;
    • perte de contrôle ;
    • black-out, troubles de la mémoire fréquents ;
    • obsession pour l’alcool ;
    • négligence accrue.

Conséquences

La consommation d’un seul verre d’alcool a des conséquences, directes, sur notre corps.

  • Court terme : même après avoir consommé un seul verre, l’alcool est présent dans le sang. Après une dizaine de minutes, il atteint le cerveau. L’effet varie en fonction de plusieurs éléments (nombre de verres consommés, vitesse d’absorption, sexe, âge, taille, poids, consommation habituelle ou non, condition physique,…)
    • effet anesthésique et analgésique ;
    • ralentit le processus de guérison ;
    • maux d’estomac ;
    • maux de tête ;
    • gueule de bois (vomissement, nausée, mal de tête, …) ;
    • comportement violent ;
    • gastrite (inflammation de la muqueuse de l’estomac) en cas de consommation excessive. En revanche, il semble que l’alcool ne soit pas directement impliqué dans la survenance d’ulcère à l’estomac ;
    • black-out (consommation d’alcool en trop grande quantité provoquant des troubles de fonctionnement du cerveau. Nocif pour le cerveau et le fonctionnement de la mémoire) ;
    • intoxication alcoolique : confusion, perte de conscience, coma, respiration difficile, arrêt du cœur ;
    • coma éthylique : sommeil profond, peu ou pas de réponse aux stimuli, baisse de la température corporelle, risque d’étouffement, respiration difficile, mort ;
  • Long terme :
    • augmentation du risque de certains cancers : bouche, gorge, œsophage, foie, côlon, rectum, sein ;
    • de maladies cardiovasculaires: hypertension, pression artérielle élevée, hémorragie cérébrale, troubles du rythme cardiaque ;
    • inflammation de l’œsophage ;
    • pancréatique (chronique) : inflammation du pancréas (dommages irréversibles, risque de cancer du pancréas) ;
    • cirrhose (maladie chronique et irréversible, détruisant progressivement les cellules. Risque que le foie ne fonctionne plus correctement et/ou cancer du foie) ;
    • risque pour le cerveau : troubles cognitifs, altération de la mémoire, des capacités de planification, d’attention et de prise de décision, syndrome de Korsakoff (détérioration de la mémoire, fabulation, désorientation, perte du langage,…) ;
    • risque pour la santé mentale : troubles psychiques, anxiété, dépression, insomnies,…
  • Répercussions sociales :
    • tensions et disputes avec l’entourage ;
    • isolement ;
    • problème au travail ;
    • problèmes judiciaires ;
    • problèmes financiers.

L’alcool au volant

Vous êtes en infraction lorsque votre concentration d’alcool est de 0,22 mg/litre d’air expiré et de 0,5 gr/litre de sang. Ce qui correspond +/- à 2 verres standards de 25 cl. Passé ce seuil, vous êtes en intoxication alcoolique.

Evènements impactant cet état : le sexe (de par le métabolisme du corps humain, les hommes supportent mieux l’alcool que les femmes) ; l’âge ; le poids ; la prise ou non de médicaments.

Intoxication alcoolique, alcoolémie = quantité d’alcool, taux d’alcool présent/détecté dans le sang. Notion objective légalement fixée en gr/L de sang (se détermine avec précision par une prise de sang). Influencée par le poids, le sexe, l’alimentation, une éventuelle maladie,…

Ivresse = incapacité à, bien, contrôler ses actes et mouvements (notion subjective). Influencée par l’habitude ou non de consommation d’alcool. On parle aussi de tolérance à l’alcool : la quantité d’alcool dans le sang reste la même mais impacte la survenance des (et les) effets de l’alcool.

Risques d’une consommation au volant : accidents (l’attention et les réactions sont moindres) et sanctions :

  • interdiction, momentanée, de conduire ;
  • amende ;
  • convocation devant un tribunal :
    • casier judiciaire ;
    • retrait temporaire/définitif du permis de conduire.

Quelques chiffres (alarmants)

  • les « binge drinkers » sont exposés à un risque d’infarctus 5 à 6 fois plus élevés ;
  • le foie dégrade un verre d’alcool standard en +/- 1h30 ;
  • l’alcool au volant constitue la 2ème cause de mortalité sur la route ;
  • plus de 4000 accidents causés chaque année sont dus à une consommation d’alcool ;
  • alcool en cause dans plus d’un accident de la route sur 10 ;
  • en cas de consommation, le risque de causer un accident mortel est multiplié par 8 à 40 fois selon la quantité ingérée !

Loin de nous vouloir moralisateurs, nous tenons surtout à vous informer des différents risques et conséquences d’une consommation, excessive et/ou problématique d’alcool. Outre les conséquences sociales, l’impact sur votre santé et les éventuelles sanctions pénales, nous n’interviendrons pour aucun accident ni aucune maladie résultant d’une consommation d’alcool aussi minime soit-elle.

Vous pouvez obtenir de l’aide sur les sites www.aide-alcool.be ; www.infordrogues.be.